L’ART en MOUVEMENT
Logement à Paris ce week-end à Paris en Auberge de Jeunesse ! Où dormir pour le Salon Mondial du Tatouage à Paris ? Pour trouvez un hébergement à Paris les 3.4. 5 mars 2017 pour le Mondial du Tatouage de Paris, au plus près de la Grande Halle de la Villette, pour une location en Ville rien qu’à vous : un airbandb collectif à Paris, un hostel in Paris, une auberge de jeunesse à Paris, une maison d’hôte, un hébergement pas cher sur Paris, au sein d’une Maison Jeunesse, dans un Centre International de Séjour à Paris, à toute proximité et en accès direct au lieu qui accueille le Salon Mondial du Tatouage à Paris.
Pour vibrer, la nouvelle édition du Mondial du Tatouage fera résonner la Grande Halle de La Villette, qui ne connaît, année après année, une telle affluence qu’à ce moment-là ! Des records qui promettent encore d’être battus cette fois, puisque, toujours sur fond de concours, de performances et de concerts, on n’y aura jamais vu une telle concentration de tatoueurs incroyables venus du monde entier, ni autant d’adeptes, curieux ou convaincus, se presser à réserver un hébergement à Paris, un logement pas cher en centre ville, dans les premières, les plus centrales et les plus parisiennes des Auberges de la Jeunesse à PARIS : les Auberges de Jeunesse BVJ PARIS !
Plébiscitée par le public comme par les institutions muséales, la discipline, aussi rigoureuse que créative, peine malgré tout encore à être officiellement reconnue comme un art à part entière. Plus pour longtemps ?
Face à la demande grandissante du public, mais aussi des tatoueurs qui savent l’importance d’une invitation à « en être », Tin-Tin, l’emblématique organisateur du Mondial du Tatouage à Paris, a réuni encore plus de tatoueurs que l’an passé à sa grande fête annuelle. En réduisant un tout petit peu la taille des stands – toujours plus confortables qu’ailleurs cependant -, ce sont dans quelques jours, 420 artistes venus de plus d’une trentaine de pays qui rencontreront à l’intérieur et à l’extérieur de la Grande Halle de La Villette les 35 000 visiteurs attendus. Une folie. Un véritable phénomène de société, sur-tout, qui n’en finit plus d’affoler les compteurs. Une vaste étude réalisée par l’Ifop pour le SNAT (Syndicat National des Artistes Tatoueurs), a ainsi permis, en novembre dernier, de révéler une progression plus que conséquente des tatoués en France, qui sont désormais 14 %, contre 10 % il y a moins de six ans. Mais si le chiffre réjouit Tin-Tin également Président du Syndicat autant que la sensible mixité de la clientèle et l’engouement des plus jeunes (27 % de tatoués chez les moins de 35 ans), il avoue que c’est surtout une autre donnée qui a fait le plus « briller les yeux ».
L’enfance de l’art du tatouage à PARIS
C’est que la chose est désormais officielle, si neuf tatoués sur dix considèrent sans surprise l’encrage de la peau comme un art, la moitié de la population française partage cette opinion. De quoi donner du baume au coeur à une profession dont le travail peine encore, malgré la technicité de sa pratique, mais sur-tout le talent de ses acteurs, à être reconnu comme une discipline artistique. Tin-Tin, en bon chef de file, n’hésite pas à viser pour elle le statut de « 10e art » – celui qui succéderait à la BD, donc – arguant pour répondre aux contestataires qui lui opposent l’éternel côté contre-culture de l’affaire, que l’Impressionnisme lui-même en son temps, faisait figure de rébellion. Sans forcément chercher à s’inscrire au Panthéon des arts recensés et numérotés (qu’ils jugent par ailleurs bien incomplet, au vu de l’émergence de nouvelles pratiques comme par exemple l’art numérique), d’autres pointures du tatouage revendiquent simplement un statut d’artiste pour ceux qui ne peuvent d’évidence, être considérés autrement.
C’est le cas de Mikael de Poissy, star du genre, connu pour ses tatouages épiques et splendides aux influences souvent religieuses, capable d’écrire sur une peau tout entière, statues de pierre, batailles médiévales ou vitraux magnifiques. « Il y a un moment où il faut appeler les choses telles qu’elles sont, expose-t-il simplement. Quand des gens font des milliers de kilomètres pour rencontrer un tatoueur et pas un autre, l’expertise qu’il recherchent ne peut être autre chose qu’une signature artistique. . »
Se faire tatouer au Mondial du Tatouage à PARIS
Certains décideront peut-être spontanément de se faire tatouer à Paris en « walk-in » ou en mode « flash » (un petit tatouage qu’on choisit sur modèle) sur le salon, dans la tradition des conventions authentiques, qu’essaie de faire perdurer Tin-Tin, depuis son shop à Pigalle, à toute proximité de l’Auberge de Jeunesse BVJ OPERA-MONTMARTRE / Hôtel Mlle Mars : « mais qui redevient tendance, comme beaucoup de pratiques old-school ». En cas de démarche plus longuement réfléchie, il est aussi bien sûr possible de prendre rendez-vous avec le tatoueur de son choix (selon places disponibles), parfois venu de loin, et de lui soumettre son projet via le site de l’événement.
Six talents à découvrir au Mondial du Tatouage
Parmi les 420 tatoueurs présents sur le Salon Mondial du Tatouage à Paris, Tin-Tin nous en présente six, de façon parfaitement paritaire. Une short-list évidemment difficile à dresser pour l’organisateur, qui sélectionne toujours drastiquement l’ensemble des talents présents, pointures et bien sûr nouveaux venus.
Laura Underskin : « C’est vraiment sa première fois ; une petite jeune, installée à Paris dans le 16e, qui fait du réalisme, qui progresse bien, et qui vient d’avoir sa place au Mondial du Tatouage à Paris, parce qu’elle a vraiment le niveau. »
Gakkin : « Un Japonais vraiment étonnant, qui fait de vastes pièces toutes noires, avec des gros fonds, des volutes, dans un genre très graphique et très nippon à la fois. C’est très surprenant, et magnifique, vraiment. »
Benjo San : « Il développe un genre un peu cartoon. Dans sa boutique, il travaille avec Virginie B., qui est plus graphique, mais les deux ont un petit style bien à eux. »
Ralf Nonnweiler : « C’est une pointure du réalisme, que je ne connaissais pas encore personnellement, mais que je rêvais d’avoir au Mondial du Tatouage à Paris. C’est finalement lui qui a fait la démarche pour sa première venue et j’en suis assez content. »
Wendy Pham : « Une jeune Australienne de Berlin, qui est déjà venue, qui a un niveau de créativité et de dessin assez décoiffants. Je suis fan. »
A NOUS Paris depuis les Auberges de Jeunesse BVJ PARIS
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